Karl Lagerfeld en trois documentaires
Publié le par Journal du Luxe
Suite à la disparition de Karl Lagerfeld ce mardi 19 février, focus sur trois programmes documentaires dédiés à l’oeuvre et à la personnalité hors du commun du couturier.
Lagerfeld se dessine – ARTE
La chaîne Arte remet en ligne sur son site internet le documentaire « Lagerfeld se dessine« , réalisé en 2012 par Loïc Prigent. Disponible jusqu’au 23 mars, cette chronologie en 50 minutes revient sur les étapes-clés de la carrière et de la vie privée du créateur, illustrées en temps réel sous le légendaire trait de crayon de ce dernier. Un autoportrait vif et intime de celui qui y raconte sa relation à la création, à l’avenir et à la singularité, le tout parsemé d’anecdotes insolites.
Signé Chanel – ARTE
Avis aux amateurs : il vous reste seulement jusqu’au lundi 25 février pour visionner les cinq épisodes de 26 minutes du feuilleton « Signé Chanel » mis à disposition par Arte… Réalisée en 2005 – là encore par Loïc Prigent – cette série documentaire revient pas à pas sur la conception d’une collection de Haute Couture. L’attente (celle des croquis de Karl Lagerfeld), le doute (au moment des premiers essayages), les rites (ceux liés aux savoir-faire au sein des ateliers), les veillées (celles précédant le jour tant attendu du défilé) et enfin la présentation de la collection aux médias et aux clientes : autant de volets qui rythment cette immersion aux côtés du créateur et de ses équipes.
Pour les retardataires, le documentaire « Signé Chanel » est également disponible en DVD chez Arte Editions.
7 Days Out : le défilé Chanel Haute-Couture – NETFLIX
La plateforme de vidéos par abonnement Netflix propose 7 Days Out, une série documentaire thématique qui se concentre sur les jours précédant de grands événements du monde du sport, de la gastronomie, de l’aérospatial, ou encore de la mode. Au sein de la première saison, l’épisode 5 – d’une durée de 47 minutes – revient à rebours sur les coulisses de la préparation du défilé Chanel Haute Couture Printemps/Eté 2018. L’occasion de partager encore un peu de la frénésie créative, du talent et des piques d’humour incomparables du « Kaiser de la mode », entre la mythique adresse de la rue Cambon et le décor d’exception de la nef du Grand Palais.